Je me suis également un peu frotté à ce scénario (qui n’est intéressant qu’en solo côté néo-zélandais VS allemands IA) qui m’a un peu fait penser à ces casse-tête qu’on trouve dans les magazines du genre « Faites Mat en 6 coups sans toucher à votre tour » ou « Dessinez le goitre de Balladur avec seulement des lignes droites et sans lever le crayon ».
La position de départ est resserrée et offre peu de champ de manoeuvre. L’ennemi, quoiqu’en petit nombre, verrouille toutes les issues. Il me semble que le secret est évidemment dans le support du mortier (un sur carte et un autre avec 20 obus hors carte) et des fumigènes mais aussi que, quelle que soit la trouvaille pour résoudre ce casse-tête, une bonne part de hasard joue toujours. Un obus qui tombe juste ou pas, un tir qui frôle ou qui touche…ect…de sorte qu’il ne doit pas y avoir de recette qui marche nécessairement à tous les coups.
Après, quelle que soit l’ampleur de la déconvenue, l’avantage est qu’on peut très facilement, rapidement et sans longs préliminaires reprendre tout à zéro pour explorer de nouvelles options. C’est donc bien un casse-tête qui fonctionne sous le principe essai/erreur/recommence.
Très technique, le support de mortier pose un coup sur 5 et il en a 20, tir en enfilade dans tous les sens !
Un peu frustrant !
Bienvenue à bord M’sieur Kilroy 🙂
Je me suis également un peu frotté à ce scénario (qui n’est intéressant qu’en solo côté néo-zélandais VS allemands IA) qui m’a un peu fait penser à ces casse-tête qu’on trouve dans les magazines du genre « Faites Mat en 6 coups sans toucher à votre tour » ou « Dessinez le goitre de Balladur avec seulement des lignes droites et sans lever le crayon ».
La position de départ est resserrée et offre peu de champ de manoeuvre. L’ennemi, quoiqu’en petit nombre, verrouille toutes les issues. Il me semble que le secret est évidemment dans le support du mortier (un sur carte et un autre avec 20 obus hors carte) et des fumigènes mais aussi que, quelle que soit la trouvaille pour résoudre ce casse-tête, une bonne part de hasard joue toujours. Un obus qui tombe juste ou pas, un tir qui frôle ou qui touche…ect…de sorte qu’il ne doit pas y avoir de recette qui marche nécessairement à tous les coups.
Après, quelle que soit l’ampleur de la déconvenue, l’avantage est qu’on peut très facilement, rapidement et sans longs préliminaires reprendre tout à zéro pour explorer de nouvelles options. C’est donc bien un casse-tête qui fonctionne sous le principe essai/erreur/recommence.
Je n’ai toujours pas trouver d’issue ! Un mini Cassino, j’y ai passé un régiment ! J’vais aller taguer mon mur en attendant un stuart !
😉