Au Commencement; au commencement de toutes choses, je suis à peu près certain que ma Belle-Mère n’y était pas, car je n’y serais alors sûrement pas venu.
Certains racontent qu’au tout début, il était des choses microscopiques, des êtres vivants si petits qu’ils en étaient invisibles à l’œil nu. A ce tarif, l’Arche de Noé aurait eu des allures de dé à coudre, c’est à dire une dimension qui ne permettrait même pas d’étaler un transat ; encore moins d’y planter un parapluie. De sorte qu’en définitive, si les choses avaient été ainsi, nous ne serions manifestement pas là (ou à la limite nous aurions des branchies et ma belle-mère jacasserait pour le coup sans bruit).
Si ce raisonnement définitif n’est pas suffisant pour jeter Darwin dans le sanibroyeur des évidences ontologiques, je ne m’y connais pas.
De combien d’intelligence, d’ingéniosité, d’efforts et de dur labeur l’Humanité a-t-elle du faire la preuve depuis la taille du premier silex d’où a jailli une étincelle, jusqu’à l’invention du protège-slip à ailettes ? Une quantité qu’il est sans doute difficile à imaginer, beaucoup plus en tout cas que l’énergie qui vous suffira à installer Combat Mission, du moins si vous avez devant les yeux les deux premiers chapitres du manuel de jeu qui sont… « Au commencement de toutes choses ».
Derniers ajouts : Traduction des chapitres « Installation du jeu et activation de la Licence » ainsi que « Commandes clavier & Souris / Options » qui débutent le Manuel de jeu 2.0.
Avec ceux là, il ne nous reste plus sur la planche que les parties consacrées à l’Éditeur en fin de livret.
Au passage et sans rapport avec Combat Mission (mais « raccord » avec les images du billet), le lien vers une vieille vidéo imbécile qui tuera 3′ 50 » de votre temps que je sais pourtant précieux.