Une carte plutôt intéressante et bien faite, le combat contre les italiens, planqués un peu partout, est moins simple qu’il n’y parait. L’IA fait quand même quelques légères erreurs, ou du moins lors de la partie que j’ai joué elle a pris un gros risque, qui m’a permis de rattraper mes propres erreurs et de prendre l’avantage pour l’emporter malgré quelques belles pertes. En PBEM ça doit être une bataille intéressante (quoique style cache-cache certainement).
Je ne partage pas ton sentiment sur la qualité du scénario en PBEM. Pour l’avoir joué (côté américain) contre Lyrik (la partie n’est pas achevée, il reste environ 15 minutes), je trouve que les objectifs de victoire n’incitent pas aux « grandes équipées ».
Le briefing indique que la carte est séparée en deux zones égales, et incite à aller mettre le pied chez celle de l’adversaire sans lui permettre de faire pareil chez vous. Pas très clair, d’autant que les zones ne sont pas visuellement délimitées. On tâtonne, et on finit par s’enterrer sur ses positions, pas très convaincu qu’aller plus loin soit rentable.
Ainsi, je crois qu’on se laisse facilement tenter par un jeu pusillanime où chacun va allumer l’autre à moyenne distance sur toute la largeur des zones supposées. On a le sentiment d’avoir plus à perdre qu’à gagner en manœuvrant, surtout lorsqu’en tant qu’américain, on est relativement convaincu de sa supériorité de feu en duel statique.
Ça n’enlève rien au fait que la carte soit effectivement relativement intéressante, assez monotone au premier abord mais parcourue d’ondulations subtiles, qui « découpent » la carte en des champs de tirs qui stimulent l’intelligence tactique.
Je ne l’ai pas encore joué en PBEM, donc ça n’est qu’une impression. En effet, ne pas avoir rendu visible les zones des objectifs ne doit pas aider. Déjà en solo ça laisse plus perplexe qu’autre chose. Et mène à tâtonner, ce qui facilite la tâche pour l’IA, qui elle attend l’assaillant (sauf exceptions lors de certains mouvements).
Une carte plutôt intéressante et bien faite, le combat contre les italiens, planqués un peu partout, est moins simple qu’il n’y parait. L’IA fait quand même quelques légères erreurs, ou du moins lors de la partie que j’ai joué elle a pris un gros risque, qui m’a permis de rattraper mes propres erreurs et de prendre l’avantage pour l’emporter malgré quelques belles pertes. En PBEM ça doit être une bataille intéressante (quoique style cache-cache certainement).
Je ne partage pas ton sentiment sur la qualité du scénario en PBEM. Pour l’avoir joué (côté américain) contre Lyrik (la partie n’est pas achevée, il reste environ 15 minutes), je trouve que les objectifs de victoire n’incitent pas aux « grandes équipées ».
Le briefing indique que la carte est séparée en deux zones égales, et incite à aller mettre le pied chez celle de l’adversaire sans lui permettre de faire pareil chez vous. Pas très clair, d’autant que les zones ne sont pas visuellement délimitées. On tâtonne, et on finit par s’enterrer sur ses positions, pas très convaincu qu’aller plus loin soit rentable.
Ainsi, je crois qu’on se laisse facilement tenter par un jeu pusillanime où chacun va allumer l’autre à moyenne distance sur toute la largeur des zones supposées. On a le sentiment d’avoir plus à perdre qu’à gagner en manœuvrant, surtout lorsqu’en tant qu’américain, on est relativement convaincu de sa supériorité de feu en duel statique.
Ça n’enlève rien au fait que la carte soit effectivement relativement intéressante, assez monotone au premier abord mais parcourue d’ondulations subtiles, qui « découpent » la carte en des champs de tirs qui stimulent l’intelligence tactique.
Je ne l’ai pas encore joué en PBEM, donc ça n’est qu’une impression. En effet, ne pas avoir rendu visible les zones des objectifs ne doit pas aider. Déjà en solo ça laisse plus perplexe qu’autre chose. Et mène à tâtonner, ce qui facilite la tâche pour l’IA, qui elle attend l’assaillant (sauf exceptions lors de certains mouvements).